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Mobilisation pour un PCF (M)

nullRéseau communiste "Faire vivre et renforcer le PCF

Nord-Est Parisien et de Seine Saint Denis",
92 rue de Belleville, 75020 Paris
e-mail : fvrpcf.parisne93@yahoo.fr

 

avec Georges Hage appuyé par des

militants communistes du PCF ou non de toute la France 

 



Ruban franchement rouge pour Georges Hage
- ex-vice-président de l'assemblée nationale
- ex-député du Nord
- Chevalier de la Légion d'honneur

Solidarité internationaliste

Solidnet.org : l'actualité internationale des

partis communistes et ouvriers


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Lisez Information Bulletin

revue trimestrielle des rencontres internationales  

annuelles des partis communistes et ouvriers

mailto : info@solidnet.org 
(Price: 3 euros plus haulage)


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Lisez Revue communiste internationale 

la revue annuelle théorique et politique des

partis communistes et ouvriers

N°1 décembre 2009 est paru en anglais et espagnol

5 € + 5,40 € frais de port à commander auprès du PTB

inem@marx.be

12 septembre 2007 3 12 /09 /septembre /2007 19:08

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3 septembre 2007 1 03 /09 /septembre /2007 17:43

Après la mascarade de l'assemblée du 9 décembre 2007

La section du 15° arrondissement de Paris écrit : "La direction n'est pas arrivée à étouffer ce qui s'est exprimé massivement dans le parti, dans ses assemblées / le refus de la disparition du PCF"

Pourtant tout a été tenté pour écraser cette volonté à commencer par Dartignolles qui fait une déclaration au Monde avant même de prononcer son rapport d'ouverture, suivi par une organisation " en ruche ", et enfin les interventions limitées 44 pour 350 demandes de paroles
La démocratie bafouée une fois de plus
Que dire de la manœuvre de Bessac qui dans son rapport de synthèse fait dire le contraire des décisions des " ruches " se faisant tout de même désavouer par M.G.Buffet

Quelle démonstration anti-démocrate de ceux qui ne cessent de renvoyer l'URSS dans les poubelles de l'histoire. Il s'agit bien des mêmes réflexes de conservation du pouvoir contre l'avis des militants (telle la chambre des soviet dénaturée en chambre d'enregistrement)
Cependant la manœuvre a avorté,
cette direction n'a plus le pouvoir de brader le parti des travailleurs qui est l'outil incontournable pour une transformation radicale de la société

ET MAINTENANT CAMARADES ?

De toutes parts est montée l'opposition au bradage et au glissement continu de notre parti vers la sociale-démocratie
Les cellules se sont réunies les sections ont voté massivement contre cette entreprise suicidaire, Les jeunes " Enfants de la crise du capitalisme " font le choix du communisme
Telle la liste des jeunes des sections de Amiens, Bagneux, Bagnolet, Bourbon, Bordeaux, Brest, Coutras, Drancy, Epinay/Seine, Guîtres, Gennevilliers, Halluin, La Courneuve, Lyon , Marseille, Montreuil, Nanterre, Nantes, Paris 11°, Rennes, Strasbourg, Toulouse, etc. etc.

*Les groupes d'opposition se manifestent de plus en plus fortement

Il est maintenant urgent et nécessaire d'unir ces forces sur des bases communes et de construire un texte commun et mener une bataille commune Nos appréciations différentes sont a présent académiques, il s'agit de reconstruire la maison en partie détruite par les aventuristes
Tels les communistes italiens orphelins de leur parti de classe dont " la chose " demande maintenant son adhésion a l'internationale socialiste

Afin d'exiger que les responsables, élus dans nos directions fédérales et nationale, cessent de mener leur campagne de sabotage du parti.
S'ils le veulent la porte du parti est ouverte afin de faciliter leur réinsertion chez les socialistes ou autres ! De toutes façons nous voulons leur démission immédiate des postes de direction qu'ils occupent

Dehors dirigeants fêlons laissez les communistes de ce pays se préoccuper du sort des travailleurs en lutte pour leurs conditions d'existence. Le parti communiste ne vous appartient pas.
Le parti communiste est le bien des salariés, pas des petits bourgeois
          Dehors allez mener votre trahison de classe ailleurs.

                                                                               M.Mélinand   Décembre 2007

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2 septembre 2007 7 02 /09 /septembre /2007 18:21

  Adresse aux délégués communistes

de l’A.G. PCF de décembre 2007
Cher(e) camarade,
Militant(e)s communistes comme toi, adhérent(e) ou ex-adhérent(e) du PCF, nous avons plus de titres à t’interpeller que les « personnalités » non commu-nistes, voire anticommunistes qui vont se succéder à la tribune de ce pré-congrès pour peser sur tes décisions et t’inciter à renier le communisme. Ces person-nages ont été invités par l’actuelle direction du Parti qui rêve depuis longtemps de débaptiser le parti, après l’avoir déjà vidé de son contenu marxiste et l’avoir mis à la remorque de la social-démocratie sous couvert de « mutation ».
Ce choix liquidateur est encouragé au niveau européen par F. Bertinotti. Bras « gauche » de Prodi (le très maastrichtien président du conseil italien), président de la « Gauche européenne », Bertinotti liquide Rifondazione comunista au lieu de dénoncer la chasse aux sorcières anticommuniste qui sévit en Europe.
Après tant de défaites apportées par la « mutation », la direction liquidatrice du parti tombe le masque et engage la rupture officielle avec le communisme. C’est une aberration : car pour résister au fascisant Sarkozy, défendre les conquêtes des ministres communistes de la Libération, faire échec à la constitution européenne bis, résister au capitalisme exploiteur et à l’impérialisme prédateur, les travailleurs ont besoin d’un VRAI parti communiste menant sans complexe le combat de classe pour le socialisme et le communisme ; un parti appelant à sortir la France du broyeur de Maastricht ; un parti défendant l’indépendance nationale ET la solidarité internationale ; un parti proposant,-comme nos camarades latino-américains, un socialisme du 21ème siècle, mais ne reniant pas la Commune, Octobre 17, le congrès de Tours et l’héritage des Sémard, Duclos, Timbaud, Moquet, D. Casanova, Frachon, Séguy, etc.
Au contraire, les dirigeants majoritaires actuels veulent remplacer le PCF par une « chose » rose foncée qui, sous un verbiage gauchisant, servira de force d’appoint au PS, lui-même réduit au rôle d’accompagnateur de la « rupture » thatcherienne de Sarko-MEDEF et de la désintégration maastrichtienne de la France.
Alors, nous tous qui voulons rester communistes, organisons l’action communiste commune sans compter sur des dirigeants faillis qui préfèrent renier le communisme plutôt que se remettre en question. Préparons-nous à conti-nuer le combat communiste quelles que soient les décisions des dirigeants naufrageurs qui n’ont plus de communistes que le nom (provisoirement !), travaillons à rendre dans l’action un vrai parti communiste à notre peuple.
Georges Hage, a. député communiste,
animateur de la Confédération d’Action communiste.
 
 
 
 
 
Groupons-nous dès demain !
Appel de 150 communistes à l’initiative de Georges Hage, doyen de l’Assemblée nationale.
Appel lancé par Georges Hage, a. député communiste du Nord, L. Landini (a. FTP-MOI, adhérent PCF de 42 à 2004, président du PRCF), J.-P. Hemmen, (prés. PRCF, fils de Fusillé de la Résistance), G. Gastaud (PRCF, a. secr. de la section de Lens du PCF), Caroline Andréani (Gauche com’, C.N. du PCF, à titre perso.), M. Mélinand (G.C., à titre perso.), P. Martin (G.C., à titre perso.) et par la section de Douai du PCF.
Cher(e) camarade,
« C’est la chute finale… » ! titrent des journaux à propos du score piteux obtenu par M.-G. Buffet. Après les 3,8% de Hue en 2002, le score marginal de MGB confirme ce que j’affirmais en 95, date à laquelle je fus le seul député communiste à refuser l’entrée du PCF dans le gouvernement Jospin : la mutation, c’est-à-dire le ralliement idéologique du PCF à la social-démocratie, détruit le PCF, désarme les travailleurs et ouvre la voie à la pire réaction !
Ce résultat de MGB survient dans une situation préoccupante, que risque d’aggraver le résultat final de l’élection (rappel : texte écrit entre les deux tours de la présidentielle) :
- la menace de fascisation plane sur la France avec le résultat de Sarkozy, émule de Le Pen, l’homme de Bush, de la croisade anticommuniste, de l’Etat policier et du MEDEF ; il faut tout faire pour battre cet inquiétant personnage sans pour autant apporter un soutien politique au programme de Royal ;
  • les principaux « présidentiables » veulent imposer au peuple la constitution supranationale rejetée par le suffrage universel : cela signifierait la fin de l’indépendance nationale et avec elle, de tout espoir d’engager à court ou à moyen terme la transformation révolutionnaire de notre pays ;
  • la dérive de la social-démocratie s’accélère avec Royal, que les électeurs PS ont eu du mal à distinguer de Bayrou
- la « gauche antilibérale » a étalé son impuissance à proposer une alternative anti-Maastricht ;
Cela a pour arrière-plan la chasse aux sorcières continentale encouragée par le Parlement européen contre les commu-nistes (interdiction de la JC tchèque, lustration en Pologne, campagne des néo-fascistes italiens pour interdire les PC d’Europe, etc.) ;
Car le peuple travailleur n’a que faire d’un appendice « rénové » de la social-démocratie ; pour stopper la fascisation de la France et sa dissolution dans l’UE du capital, les travailleurs ont besoin d’un vrai parti communiste, d’une vraie force anticapitaliste ; sans cela, impossible de combattre le capitalisme et l’impérialisme, de rompre avec Maastricht, de construire une République sociale, souveraine et fraternelle, de relancer la lutte pour le socialisme et le communisme.
L’engagement communiste en France est donc à un tournant : sa continuité dépend désormais des militants et d’eux seuls; c’est pourquoi j’en appelle à tous les militants, à toutes les structures qui ont eu le mérite de refuser la mutation, au sein du PCF ou à l’extérieur. C’est la chute finale, proclament nos ennemis ? Eh bien… Groupons-nous dès demain pour reconstruire le parti qu’il nous faut pour impulser la résistance et l’alternative populaires !
Pour ce regroupement vital, je vous soumets des idées qui devraient faire sens pour de vrais communistes.
1° ) OUI, le COMMUNISME DEMEURE le SENS de L’HISTOIRE !
Malgré l’anticommunisme qu’elles déversent, les forces du capital ne pourront empêcher la lutte des classes de se poursuivre et de se durcir en France, en Europe et dans le reste du monde.
Ainsi, en pleine campagne électorale, les luttes ont continué chez PSA, au Port de Marseille, dans l’Education nationale, dans la Métallurgie, autour des sans-papiers ; et il en ira toujours plus ainsi à mesure que le MEDEF et l’UE détruiront le pouvoir d’achat, les acquis, l’emploi, les services publics, le logement social… L’affrontement de classes, initié en décembre 95, poursuivi en 2003 (retraites), prolongé par l’action anti-CPE, par le 29 mai 2005, n’est pas derrière, mais devant nous !
Sans cela, pourquoi la grande bourgeoisie éprouve-t-elle le besoin de construire un Etat-policier, de quadriller les médias et d’enfermer la France dans l’Europe supranationale ? Oui les maîtres de l’Argent ont peur du peuple de France, héritier de 89, de la Commune, du Front populaire, de la Résistance et des luttes passées du PCF « pour le pain, la paix et la liberté » ! Ne désespérons pas du peuple, même si certains travailleurs déboussolés font des choix antidémocratiques. Au contraire, reconstruisons l’outil politique communiste qui fait défaut au peuple pour retrouver ses marques !
Il faut aussi regarder au-delà des frontières :après la défaite historique que fut la fin du camp socialiste, les peuples retrouvent la voie des luttes : au Moyen-Orient, les résistances populaires font échec à l’impérialisme états-unien et israélien ; en Amérique latine, autour de Cuba et du Venezuela, un processus révolutionnaire s’oriente vers le socialisme !
Au moment où la re-mondialisation du capitalisme n’apporte que misère, guerres, fascisme, intégrisme, menaces écolo-giques, les communistes doivent substituer l’analyse marxiste de leur histoire à la « repentance » pratiquée par la direction du PCF. Oui, Octobre 17 fut le plus grand événement libérateur depuis 1789 ! Oui les héros de Stalingrad méritent notre gratitude pour avoir écrasé le nazisme au prix de sacrifices inouïs. Oui le PCF fut l’âme de la Résistance française ! Oui les ministres communistes de 45 sont à l’origine des acquis que la droite démolit aujourd’hui : Sécu, retraites, conventions collectives, statuts, droit du travail, nationalisations…Non, la liquidation des Etats socialistes ne fut pas une « avancée de la liberté », quels qu’aient pu être les manquements des partis au pouvoir : ce fut un processus contre-révolutionnaire qui a rendu les peuples de l’Est à des régimes cléricaux ou carrément nostalgiques de Hitler (pays baltes) !
Cela ne signifie pas qu’il faudrait idéaliser la première expérience historique de construction d’une société socialiste. Mais il faut analyser cette expérience, ses contradictions, ses déviations, mais aussi ses avancées sociales, culturelles et démo-cratiques, à la lumière du marxisme, du combat de classe, du socialisme sans chausser les lunettes de la pensée unique anti-communiste ! Il est odieux d’amalgamer les Soviets ouvriers et paysans au Troisième Reich, comme le fait l’histoire officielle ! C’est sans dogmatisme mais avec fierté que nous assumons l’héritage des Communards, des Bolcheviks, des Révolutions chinoise et cubaine, des Brigades internationales, des FTP, comme nous assumons l’héritage des grands révolutionnaires bourgeois, Marat, Robespierre, Saint-Just, Garibaldi, Bolivar, Zapata et autres José Marti !
Car l’avenir de l’humanité sera communiste ou ne sera pas : la mondialisation capitaliste creuse l’inégalité nord-sud et dévoie le progrès scientifique ; en Occident, une poignée de privilégiés étale un luxe indécent mais des millions de travailleurs pauvres couchent dehors ! A l’heure où la production, de plus en plus internationalisée, conditionne la vie de l’humanité, il est suicidaire que les grands moyens de production et d’échange soient accaparés par une poignée de financiers. Ce n’est plus seulement pour vivre mieux que la majorité des humains a intérêt à une société sans classes et sans exploitation : face au capitalisme et au néolibéralisme, la marche au communisme est la seule issue pour que l’humanité se développe au 21ème siècle en maîtrisant son rapport à la nature pour permettre à chacun de se développer pleinement !
Mais cela est impossible sans révolution socialiste, sans socialisation des grands moyens de production, sans pouvoir politique des travailleurs, sans démocratie pour le plus grand nombre, sans rôle dirigeant des travailleurs dans la société !
2- pour combattre la fascisation,
pour la rupture progressiste avec l’Union Européenne !
La mutation a dénaturé le PCF en le subordonnant au PS, en l’arrimant à l’UE (le Parti s’est affilié à la Gauche européenne et prône la « réorientation » de l’Europe capitaliste!) et en l’amenant à abandonner la référence au marxisme et à la classe ouvrière. Le résultat c’est que nombre d’ouvriers ne votent plus, ou pire, soutiennent leurs pires ennemis, Sarko et Le Pen !
En réalité, la « construction européenne » est la stratégie fondamentale du grand capital ; celui-ci veut un Etat supra-national pour asservir les travailleurs, dominer l’Est et le Sud, mener sa guerre économique contre les autres impérialismes continentaux (même si l’Europe est aujourd’hui vassale des USA…).
Une stratégie révolutionnaire doit donc former autour des travailleurs salariés un rassemblement populaire majoritaire, comme celui qui a battu la constitution européenne. Il faut sortir la France de l’euro et de l’UE car aucune politique sociale n’est possible à moins. D’ailleurs, la masse de ceux qui votèrent non en 2005 n’a pas seulement rejeté la constitution, mais l’intégration européenne dans sa double dimension de casse de la nation républicaine et des acquis sociaux !
Ce rassemblement nécessite l’unité d’action des travailleurs salariés, actifs, retraités, sans emploi ou en formation ; pour cela il faut construire le tous ensembledans l’action, défendre le syndicalisme de classe, impulser la solidarité entre ouvriers français et immigrés. Il faut aussi d’unir autour des salariés les couches moyennes précarisées par la mondialisation capitaliste et par l’UE : cadres, paysans, artisans, petits entrepreneurs écrasés par les « donneurs d’ordre »...
Mais cela implique d’associer de nouveau, comme le fit le PCF en 1936 et pendant la Résistance, le drapeau tricolore au drapeau rouge. Ainsi, la question de la révolution sociale, de la rupture avec le capitalisme, pourra-t-elle reprendre concrètement sens, comme ce fut le cas partout où les communistes ont uni combat social et émancipation nationale. Face au drapeau bleu de l’Europe et de l’UMP, face au racisme du FN et de Sarkozy, il faut unir la Marseillaise et l’Internationale pour briser le carcan européen, élargir les acquis de 36, 45 et 68, impulser l’Europe des luttes et mettre des millions de citoyens en situation d’affronter le grand capital. C’est pourquoi je soutiens le programme de lutte adopté par la Gauche Communiste et par le PRCF qui prône la rupture avec l’UE et une démocratie radicalement nouvelle.
Loin de conduire au repli, sortir de l’UE permettrait à une République sociale française de promouvoir de nouveaux traités internationaux progressistes non limités à l’Europe. Ainsi, en Amérique latine, c’est en rompant les traités imposés par Washing-ton, que Cuba et le Venezuela ont créé l’Alternative bolivarienne des Amériques, fondée, non sur la concurrence libre et non faussée mais sur l’échange équitable entre nations libres. Pour la France, cela suppose de combattre l’impérialisme français, notamment en Afrique, et de soutenir les travailleurs immigrés contre le racisme d’Etat !
Quelle force nous retrouverons rapidement si nous diffusions ensemble massivement des tracts exposant un tel programme, au moment où la social-démocratie et ses satellites « antilibéraux » étalent leur impuissance !
3- pour reconstruire un vrai Parti communiste,
commençons par l’action commune !
Pour cela, nous n’avons besoin ni d’un « parti des gens » à l’affût des modes, ni d’un parti-guide omniscient, mais d’un parti d’avant-garde marxiste capable de dialogue, mais porteur d’une ligne révolutionnaire. Ce parti ne renaîtra pas en niant les structures qui ont tenu bon face aux reniements. Pour unir les communistes, il faut développer le débat, l’analyse du monde actuel et surtout, l’intervention communiste dans les luttes.
C’est pourquoi je propose de créer une Confédération d’Action Communiste pour :
organiser une large table ronde ; y décider d’une adresse à la Fête de l’Huma et aux travailleurs en lutte à la rentrée ; constituer un comité de liaison disposant d’un site internet et offrant des projets de TRACT d’actualité ; préparer ensemble le 90ème anniversaire d’Octobre ; militer contre toute constitution européenne, pour sortir la France de l’UE sur des bases progressistes ; pour refuser toute mesure de casse sociale et de fascisation ; soutenir pleinement Cuba socialiste menacée de nouvelles sanctions par l’U.E. et par l’impérialisme US ; -tout cela étant non limitatif…
Quand l’action commune aura créé la confiance, il sera plus facile de renforcer les liens d’organisation. 
Je t’adresse mes encouragements fraternels pour la période qui s’annonce: notre peuple finira par retrouver le bon cap siles communistes s’unissent sur quelques principes clairs pour mener ensemble le combat de classe !
Pour ma part, et jusqu’à la limite de mes forces, j’aurai fait tout ce qui dépend de moi pour perpétuer l’idéal qui a guidé toute mon action militante et parlementaire. Comme disait ironiquement Marx, « j’ai dit, et j’ai sauvé mon âme » !
Se joignent à l’appel : Nicolas Douchin, secr. section PCF du Lauragais (31) ; Robert Hulo, prés. ARC Alsace-Lorraine PRCF ; Jacques Cler (40) ; Emmanuel Chubilleau, du com. de section d’Orléans (PCF) ; Aurélien Chubilleau, chômeur (86) ; Michel Peyret, a. député (PCF de 53 à 2006) ; Pierre Thorez, universitaire (76) ; Françoise Tarnat (59) ; Danielle Bleitrach, sociologue, a. m. CC PCF (13) ; Jérémy Perret (49) ; Louise Fromentin, mil. CGT retr. (34) ; Bernard Colovray, ouvrier d’usine, PRCF 69 ; Roger et Aimée Charlat (42) ; Camille Audibert (83) ; Georges Aillaud, PRCF 93 ; Joseph Almudever, a. Brigadiste d’Espagne (09) ; Jean-Luc Amar (13) ; Gaspard Amico (06) ; Robert Batis (64) ; Jean-Paul Batisse, PRCF 51 ; Pierre Batoge, chômeur (22) ; Antoine Bertolini (13) ; Robert et Françoise Bertrand (31) ; Louis Blanchard (80) ; Conception Bonnet (93) ; Jean Bonnet, ouvrier du Livre, PRCF 93 ; Pierre Brunelle, ouvrier métal., (62) ; Georges Chartier, mil. CGT retr. (30) ; Dominique Chtourou, ens. (77) ; Jacques Coignard, a. secr. féd. PCF 22, PRCF ; Guy Constant, PRCF ; Gino Coppede (83) ; Mme Richard Crovasce, fille de FTP ; Marius Delsal (95) ; Victor Deweer (62) ; Michel Dieux, PRCF 42 ; Josette Dieux, mil. CGT Chômeurs 42 ; Aurélien Djament, chercheur (44) ; Gilbert Enaud, a. m. PCF (17) ; Olivier Essertel (42) ; Michel Fourmaux (62) ; Marie-France Fovet, mil. France-Cuba (62) ; Claude Frioux (85) ; René Gilli, a. dirigeant FTP, a. resp. PCF 06; Lina Girelli, vétérane (83) ; Franck Hazard (80) ; Kleber Hivert, a. m. PCF (95) ; Annie et Serge Lana, a. Sec. de G. Moreau et L. Villa (75) ; Albert Laurent, a. resp. CGT ; Alain Lassart (46) ; Serge Lévêque (34) ; Jean-Philippe Locquet (internet) ; Daniel Lorléac’h, FSGT Bretagne ; Annie Crovisier, PRCF 62 ; Nicole Lorléac’h, PRCF 22 ; Roland Mader, PRCF 66 ; Michel Mannker, PRCF 93 ; Désiré Marle, a. m. CF (62) ; Benoit Foucambert, syndic. 28 ; Philippe Mercader, ex-PCF (13) ; Jean-Pierre Menuge, ouvrier du bât., PRCF Eleu (62) ; David Nicolas (08) ; Pierre Nollet-Flament, cheminot, Bagneux; Pierrette Ooghe, mil. Secours pop. (91) ; Jean-Michel Padot, cons. mun., ex- secr. section PCF Bully-les-mines (62) ; Pierre Pranchère, a. m. C.C. PCF, FTP, a. député, PRCF 19 ; Jean-Paul Rebour, a. m. bureau de sec. PCF Montpellier ; Roland Ricouard (76) ; M. Rolland, PCF « rouge » (44) ; Robert Rondeau, maire honor. Guyancourt, PRCF ; Annie Lacroix-Riz, historienne, PRCF 78 ; Henri Rodriguez Vasquez (internet) ; Jean-Claude et Rose Romand, resp. FGR (13) ; Alain Rondeau, PRCF (78) ; Roger Santoni (95) ; Jean-Pierre Sienkiewicz, syndicaliste (62) ; Guy Simonet (46) ; Claude Sportisse (69) ; Guy Stocker, PCF et CGT (51) ; Paul Svec, PRCF, CGT (68) ; Maria Thomé, vétérane communiste (35) ; Denis Trébos, mal. de l’amiante (71) ; Pierre Varéa, ex-élu PCF, dir. CGT (34) ; Pierrette Varéa, artisane du bâtiment, PRCF 34 ; François Véchart, prof., PRCF 57 ; Robert Vossion, a. secr. section PCF-Harnes, ex-m. CF 62, privé de carte ; Luc Ways, technicien, anim. Tourisme social ; Michelle Belot, cons. mun. PRCF Loos (62) ; Hervé Claude, PCF (91) ; Jacques Chastagnol, 1er adj.Gourdon-Murat, PRCF ; Jean-Claude Houseaux, sec. Cellule PRCF Auchy, élu mun. (62) ; J.-François Maison, a. sec. Section PCF Lens, PRCF Lens; Jacques Lacaze, ex-sec. Section PCF Liévin, PRCF ; Bernard Parquet, a. resp. école centrale PCF, PRCF 94 ; Etienne Gosset, PCF 80 ; Daniel Antonini, a. resp. FMJD, PRCF-Boulogne-s-mer ; Alexis Lacroix (75)prés. des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France (JRCF) ; Vincent Flament, rédac. en chef Initiative communiste, PCF Lille ; Claude Vinci, chanteur (75) ; Laurent Nardi, Coord. communiste de He-Savoie ; Noëlle Barth, élue PCF Meurthe-et-Moselle ; Henri Alleg, journaliste communiste ; Noëlle Alonso (65) ; Pierre, Marianne, Garance Bonnebeau (84) ; Jacques Carpentier (81) ; Christiane et Jean-Pierre Combe (PRCF 19) ; Camilo Covacho (75) ; René Fidler (95) ; Henri Forster (91) ; Michel Gérard (88) ; Sylvie Guduk (81) ; Jacques Jensen (35) ; Jacques Lefèbvre (93) ; Claude Mercuriali (81) ; Robert, Monique, Regina Meyer (PRCF 84) ; Nicole et Emilien Pellegrino, (13) ; Maxime Picard, PCF et MJCF (13) ; Serge Pontzeele (62) ; Jeannine Latosi (PRCF 62) ; Odile Hage, sec. PCF Douai, élue mun. Douai ; Monique Nivet,PRCF (59); Sandrine Sao Lazaro (secr. des JRCF) ; Robert et Josiane Rolland-Ballu (44) ; Mathieu Savary (59) ; Alain Van Gindertael (92) ; J.-L. Vidal (07) ; Madeleine Dupont (PRCF 62) ; Jean-Claude Facquez, syndic. SNCF (62) ; Bruno Nottin, a. m. CD du nord, PCF Montargis ; Georges Labica, philosophe (75) ; Thomas Remmery, étudiant, JRCF (62) ; Pierre Huguet, maire-adj. Créon, PCF (33) ; Eric Fatoux, coordinateur CGT-Cégélec ; Nellyane Bernard (59);Claude Bonvarlet(59); Claudine Bridoux (59); Robert Canonge (84); Henri Chevallereau, retraité (32); Hervé Claude (62); Maria Colas (22); Decortes Pascal et Sophie (42); Arlette Degaugue (62); Gerard Desoillard (83); Jeanne Colette-Dubois, a. FTP (59); Jean-Michel Favier (59); Cyrille Ferro-Steyaert, membre CD 68 PCF et CR Alsace (67); Yves Henocq, Bureau section PCF Douai (59); Henriette Hery, resp. retraités CGT Douai (59); Jacques Jurquet (13); Jacques Leclercq, sec. UL Douai, cons mun. PCF; Katia Malaforte (45); Christiane et Raphaël Nennot, PRCF Dinan (22); Catherine Nennot (22); Dominique Pradignac (85); Jacques Renaux, retraités bateliers CGT (59); Marie Ribbens, bureau sect. Douai (59); Jany Sanfelieu, PRCF 89; Ange Serra (13); Jean Soleilhavoux (19); Emile et Hortense Suray (59); Robert Tarnat (59); Fernand Urvoaz (93);Henri Wiart (59);Andréani Marie-Catherine, Gauche Communiste (93); Bardet Lucien, ex secrétaire CGT (87); Barisone Bruno, section PCF Aix (13);; Bournaud Roger, vétéran PCF (75); Depierre Paul (61); Berthier Florent, ouvrier CDD (13); Cossard Claude PRCF (92); Daudet Louise, PRCF, militante associative (13); De Angelis Etorix, PRCF (06); Dijon Régis et Nathalie, PRCF (13); Dupuy Isabelle-Siona, PRCF (31); Escobar Stella (91);Faucon Ernest (67); Fouin Louis; Gandiglio Marion (43); Giovannoli Jean Baptiste, retr. CGT (13); Jaillet Rémi, PCF-PRCF (34); Lalanne Jean-Claude (13); Lavéant Paul et Colette (75); Leconte Gérard (62); Lefort René, mil. com. et syndicaliste (75); Leroy Jean-Paul, PRCF 75; Maillard Emile (94); Manessis Dimitri, JRCF 69; Nguyen Liem, secrétaire section Bagneux; Odier Denis, URCF (47); Olivier Roger PRCF (13); Oufares Magali (13); Porte Roger (13); Rabier Philippe (41); Rivière Christian et Martine(44); Rabu Joseph (75); Closson Daniel (02); Drouillet Jean-Pierre et Ana Rita, section Pau; Galland Jean écrivain (37); Jannou Daniel(56); Lesturgeon Suzanne, PRCF 22; Meignand Nicole, PCF (22); Selingant Fabrice, PCF Montargis; Nourry Raymond (66); Veyssiére Alban (22); Villerbu Michelle (22); Schwetzoff-Mellado Suzanne, militante service public (84); Djukic Jean, militant syndical (67); Basso Dominique, candidat législatives 2002 (02); Bouazzi Abdel a. m. CF PCF 62 et Véronique; Bourlet Jean (59); Cougrand Henry (95); De Andrade André, projeteur (93); Depierre Paul (61); Dissanne Serge ex PCF (34); Fete Jacques et Jacqueline (31); Gaudemer Claire (42); Gauthier Michel (94); Gellee J. (40); Goscianski Eric PRCF (62); Hugot Simone retraitée agro-alimentaire (89); Jay Raymond, a. FFI (89); Josserand Roger (94); Le Moal Jean-Pierre PCF 94; Marais Michel (79); Milhorat Georges et Suzanne, retraités Ed. Nat. (09); Nebut René et Michèle (94); Nicolo-Vachon Simone, a. résistante, PRCF 44; Pinet Roger ; Soubeyrand Hugo (42); Paillot Bernard (02); Baggetto Serge, a. sec. UD CGT 74; Baggetto Hélène (74): Plusquellec Hervé, mil. sundical (74); Rey Yveline, militante syndicale 74; Rey Jean (74); Roullet Marcel, ex secrétaire section Rumilly (74); Remande Jean-Louis, Gauche co et CGT (76); Corailler Emile, ex PCF (49); Alia Dorothée, secr. section PCF Liancourtois (60); Makhloufi Michel, collectif dionysien du PCMLF (93); Sylvain Pierre, Collectif dionysien (93); Boisjot Alain, collectif dionysien (93);Duret Régis, Comité Bas-Chablais de la coordination 74; Duret Danièle (74); Landini Gilda (78); Lupezza Robert (39); Maraval Françoise (74); Petit Henri (09); Pipard André (75); Réveillac Jean, ouvrier, PRCF 32; Plantier Françis (34); Mary Daniel (34); Fabre Jacques, PRCF 34; Viauvy Andrée (92); Michel Yvan, PRCF 22; Lignières Max (34); Delarue Jean (49); Commant Marie-Claude PRCF 22; Bruhat Jeanne (42); Georges et Violette Audibert (42); Marie-Claude Comant (22); Jacques Carpentier (81); Claude Deloume (33); Michel Gérard (88); Jacques Lefevre (93); Mary et Ken Larson (02); Julien Hage (PCF 75); François Mairey-Rouveloup (78); Massimiliano Ay; Julien Quennesson JRCF 59; Christian Rivière, mil. espérantiste (44); Martine Rivière (44); Jihad Wachid (80); Jean-Luc Vidal (07); Patrick Kocik PCF, PRCF, Ami de la Commune; René et Claudine Opart (34); Daniel Rougerie (PCF 59); Chrysanthie Thérapontos (PCF Lille); Rémi Frakowiak (PCF 59)
Je soutiens cet appel et m’engage à le diffuser aux communistes de ma connaissance
Nom……………prénom…………responsabilités……………………………………………………………………
adresse……………………………………………………………………courriel…………………………tél.………………… écrire à G. Hage, 52 rue Deforest, 59500 Douaigeorge-hage@wanadoo.fr 
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1 septembre 2007 6 01 /09 /septembre /2007 18:01

RENCONTRE MILITANTE UNITAIRE
"vers une 
Confédération 
d’Action Communiste " 
Aubervilliers, le samedi 30 juin 2007
-----------------------------------------------------------------
Groupons-nous dès demain !
Appel de 150 communistes à l’initiative de Georges Hage, doyen de l’Assemblée nationale.
 
Appel lancé par Georges Hage, doyen du groupe parlementaire communiste, président-fondateur du Collectif National Unitaire des Communistes ; soutenu par Léon Landini, J.-P. Hemmen et Georges Gastaud (PRCF), Caroline Andréani (Gauche com’, C.N. du PCF, à titre perso.), Michel Mélinand (G.C., à titre perso.), Pierre Martin (G.C., à titre perso.) et par la section de Douai du PCF.
Adressé aux communistes dont j’ai les coordonnées ainsi qu’aux animateurs des organisations suivantes : PRCF, Gauche co., sections PCF Paris 15ème et PCF-Béziers, « Communistes » (R. Perlican), Combat, AMC 17, AC 76, Collectif communiste audois, Cercle comm. Alsace, Coord. Com. nord, Coord. Com. 74, Appel du 41, Rouges vifs, URCF, etc.
 
Se joignent à l’appel :Nicolas Douchin, PRCF, secr. section PCF du Lauragais (31) ; Robert Hulo, prés. ARC Alsace-Lorraine PRCF ; Jacques Cler (40) ; Emmanuel Chubilleau, du com. de section d’Orléans (PCF) ; Aurélien Chubilleau, plasticien, chômeur (86) ; Michel Peyret, a. député communiste (m. du PCF de 53 à 2006) ; Pierre Thorez, universitaire (76) ; Françoise Tarnat (59) ; Danielle Bleitrach, sociologue, a. membre du CC du PCF (13) ; Jérémy Perret (49) ; Louise Fromentin, mil. CGT retr. (34) ; Bernard Colovray, ouvrier d’usine (69) ; Roger et Aimée Charlat (42) ; Camille Audibert (83) ; Georges Aillaud, PRCF (93) ; Joseph Almudever, a. Brigadiste d’Espagne (09) ; Jean-Luc Amar (13) ; Gaspard Amico (06) ; Robert Batis (64) ; Jean-Paul Batisse, PRCF (51) ; Pierre Batoge, chômeur (22) ; Antoine Bertolini (13) ; Robert et Françoise Bertrand (31) ; Louis Blanchard (80) ; Conception Bonnet (93) ; Jean Bonnet, ouvrier du Livre, prés. PRCF 93 ; A. De Andrade, (CPN PRCF) ; Pierre Brunelle, ouvrier métal., mil. PRCF et CNL (62) ; Georges Chartier, mil. CGT retr. (30) ; Dominique Chtourou, ens. (77) ; Jacques Coignard, a. secr. féd. PCF 22, PRCF ; Guy Constant, PRCF ; Gino Coppede (83) ; Mme Richard Crovasce, fille de FTP ; Marius Delsal (95) ; Victor Deweer (62) ; Michel Dieux, prés. PRCF 42 ; Josette Dieux, mil. CGT Chômeurs (42) ; Aurélien Djament, chercheur, PRCF et CGT ; Gilbert Enaud, a. com. section PCF Nantes, PRCF (17) ; Olivier Essertel (42) ; Michel Fourmaux (62) ; Marie-France Fovet, mil. France-Cuba (62) ; Claude Frioux (85) ; René Gilli, a. dirigeant FTP, a. resp. PCF 06, PRCF ; Lina Girelli, vétérane (83) ; Franck Hazard (80) ; Kleber Hivert, a. m. PCF (95) ; Annie et Serge Lana, a. Sec. de G. Moreau et L. Villa (75) ; Albert Laurent, a. resp. CGT ; Alain Lassart (46) ; Serge Lévêque (34) ; Jean-Philippe Locquet (internet) ; Daniel Lorléac’h, prés. FSGT Bretagne ; Annie Crovisier, PRCF 62 ; Nicole Lorléac’h, PRCF 22 ; Roland Mader, m. bureau PRCF 66 ; Michel Mannker, PRCF 93 ; Désiré Marle, mil. internationaliste, a. m. CF (62) ; Benoit Foucambert, syndic., PRCF 28 ; Philippe Mercader, ex-PCF (13) ; Jean-Pierre Menuge, ouvrier du bât., secr. Cellule PRCF Eleu, CGT (62) ; David Nicolas (08) ; Pierre Nollet-Flament, cheminot, très. Section PRCF-Bagneux; Pierrette Ooghe, mil. Secours pop. (91) ; Jean-Michel Padot, cons. mun., ex- secr. section PCF, secr. section PRCF-Bully-les-mines (62) ; Pierre Pranchère, a. m. C.C. du PCF, FTP, a. député et euro-député, PRCF 19 ; Jean-Paul Rebour, a. m. bureau de sec. PCF Montpellier ; Roland Ricouard (76) ; M. Rolland, PCF « rouge » (44) ; Robert Rondeau, sec. USR CGT (78), maire honor. Guyancourt, PRCF ; Annie Lacroix-Riz, universitaire, PRCF 78 ; Henri Rodriguez Vasquez (internet) ; Jean-Claude et Rose Romand, resp. FGR (13) ; Alain Rondeau, PRCF (78) ; Roger Santoni (95) ; Jean-Pierre Sienkiewicz, syndic enseignant (62) ; Guy Simonet (46) ; Claude Sportisse (69) ; Guy Stocker, PCF et CGT (51) ; Emile Svray (59) ; Paul Svec, PRCF, CGT (68) ; Maria Thomé, vétérane communiste (35) ; Denis Trébos, mal. de l’amiante (71) ; Pierre Varéa, ex-élu PCF, mil. CGT (34) ; Pierrette Varéa, artisane du bâtiment, PRCF 34 ; François Véchart, prof., PRCF 57 ; Robert Vossion, a. secr. section PCF-Harnes, ex-m. CF 62, privé de carte, PRCF ; Luc Ways, technicien, anim. Tourisme social ; Michelle Belot, cons. mun. PRCF Loos (62) ; Hervé Claude, PCF (91) ; Jacques Chastagnol, 1er adj.Gourdon-Murat, PRCF ; Jean-Claude Houseaux, sec. Cellule PRCF Auchy, élu mun. (62) ; Jean-François Maison, a. sec. Section PCF Lens, sec. Section PRCF Lens; Jacques Lacaze, sec. Section PRCF Liévin, élu municipal ; Bernard Parquet, a. resp. école centrale PCF, prés. PRCF 94 ; Etienne Gosset, PCF, PRCF 80 ; Daniel Antonini, a. resp. FMJD, PRCF-Boulogne-s-mer ; Alexis Lacroix (75)prés. des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France (JRCF) ; Vincent Flament, rédac. en chef Initiative communiste (59) ; Claude Vinci, chanteur (75) ; Laurent Nardi, secr. Coord. communiste de Haute-Savoie ; Noëlle Barth, élue PCF Meurthe-et-Moselle ; Henri Alleg, journaliste communiste ; Noëlle Alonso (65) ; Pierre, Marianne, Garance Bonnebeau (84) ; Jacques Carpentier (81) ; Christiane et Jean-Pierre Combe (PRCF 19) ; Camilo Covacho (75) ; René Fidler (95) ; Henri Forster (91) ; Michel Gérard (88) ; Sylvie Guduk (81) ; Jacques Jensen (35) ; Jacques Lefèbvre (93) ; Claude Mercuriali (81) ; Robert, Monique, Regina Meyer (PRCF 84) ; Nicole et Emilien Pellegrino, (13) ; Maxime Picard, PCF et MJCF (13) ; Serge Pontzeele (62) ; Jeannine Latosi (PRCF 62) ; Odile Hage, sec. PCF Douai, élue mun. Douai ; Monique Nivet, com. sec. PCF Douai ; Sandrine Sao Lazaro (secr. des JRCF) ; Robert et Josiane Rolland-Ballu (44) ; Mathieu Savary (59) ; Alain Van Gindertael (92) ; J.-L. Vidal (07) ; Madeleine Dupont (PRCF 62) ; Jean-Claude Facquez, syndic. SNCF (62) ; Bruno Nottin, a. m. du CD du nord, PCF Montargis ; Georges Labica, philosophe (75) ; Thomas Remmery, étudiant, JRCF (62) ; Pierre Huguet, ma.-adj. Créon, PCF (33) ; Eric Fatoux, com. (plus organisé), coordinateur CGT-Cégélec, fondateur de « Libérez-les » ; Nicolas Maury, (PCF 13) militant PRCF ;
 
Cher(e) camarade,
 
« C’est la chute finale… » ! titrent des journaux à propos du score piteux obtenu par M.-G. Buffet. Après les 3,8% de Hue en 2002, le score marginal de MGB confirme ce que j’affirmais en 95, date à laquelle je fus le seul député communiste à refuser l’entrée du PCF dans le gouvernement Jospin : la mutation, c’est-à-dire le ralliement idéologique du PCF à la social-démocratie, détruit le PCF, désarme les travailleurs et ouvre la voie à la pire réaction !
 
Ce résultat de MGB survient dans une situation préoccupante, que risque d’aggraver le résultat final de l’élection (rappel : texte écrit entre les deux tours de la présidentielle) :
-     la menace de fascisation plane sur la France avec le résultat de Sarkozy, émule de Le Pen, l’homme de Bush, de la croisade anticommuniste, de l’Etat policier et du MEDEF ; il faut tout faire pour battre cet inquiétant personnage sans pour autant apporter un soutien politique au programme de Royal ;
-          les principaux « présidentiables » veulent imposer au peuple la constitution supranationale rejetée par le suffrage universel : cela signifierait la fin de l’indépendance nationale et avec elle, de tout espoir d’engager à court ou à moyen terme la transformation révolutionnaire de notre pays ;
 
-            la dérive de la social-démocratie s’accélère avec Royal, que les électeurs PS ont eu du mal à distinguer de Bayrou
-             
-      la « gauche antilibérale » a étalé son impuissanceà proposer une alternative anti-Maastricht ;
 
Cela a pour arrière-plan la chasse aux sorcières continentale encouragée par le Parlement européen contre les commu-nistes (interdiction de la JC tchèque, lustration en Pologne, campagne des néo-fascistes italiens pour interdire les PC d’Europe, etc.) ;
 
             Car le peuple travailleur n’a que faire d’un appendice « rénové » de la social-démocratie ; pour stopper la fascisation de la France et sa dissolution dans l’UE du capital, les travailleurs ont besoin d’un vrai parti communiste, d’une vraie force anticapitaliste ;sans cela, impossible de combattre le capitalisme et l’impérialisme, de rompre avec Maastricht, de construire uneRépublique sociale, souveraine et fraternelle, de relancer la lutte pour le socialisme et le communisme.
L’engagement communiste en France est donc à un tournant : sa continuité dépend désormais des militants et d’eux seuls; c’est pourquoi j’en appelle à tous les militants, à toutes les structures qui ont eu le mérite de refuser la mutation, au sein du PCF ou à l’extérieur. C’est la chute finale,proclament nos ennemis ? Eh bien…Groupons-nous dès demain pour reconstruire le parti qu’il nous faut pour impulser la résistance et l’alternative populaires !
 
Pour ce regroupement vital, je vous soumets des idées qui devraient faire sens pour de vrais communistes.
 
 
1° ) OUI, le COMMUNISME DEMEURE le SENS de L’HISTOIRE !
 
Malgré l’anticommunisme qu’elles déversent, les forces du capital ne pourront empêcher la lutte des classes de se poursuivre et de se durcir en France, en Europe et dans le reste du monde.
 
Ainsi, en pleine campagne électorale, les luttes ont continué chez PSA, au Port de Marseille, dans l’Education nationale, dans la Métallurgie, autour des sans-papiers ; et il en ira toujours plus ainsi à mesure que le MEDEF et l’UE détruiront le pouvoir d’achat, les acquis, l’emploi, les services publics, le logement social… L’affrontement de classes, initié en décembre 95, poursuivi en 2003 (retraites), prolongé par l’action anti-CPE, par le 29 mai 2005, n’est pas derrière, mais devant nous !
 
Sans cela, pourquoi la grande bourgeoisie éprouve-t-elle le besoin de construire un Etat-policier, de quadriller les médias et d’enfermer la France dans l’Europe supranationale ? Oui les maîtres de l’Argent ont peur du peuple de France, héritier de 89, de la Commune, du Front populaire, de la Résistance et des luttes passées du PCF « pour le pain, la paix et la liberté » ! Ne désespérons pas du peuple, même si certains travailleurs déboussolés font des choix antidémocratiques. Au contraire,reconstruisons l’outil politique communiste qui fait défaut au peuple pour retrouver ses marques !
 
Il faut aussi regarder au-delà des frontières :après la défaite historique que fut la fin du camp socialiste, les peuples retrouvent la voie des luttes : au Moyen-Orient, les résistances populaires font échec à l’impérialisme états-unien et israélien ; en Amérique latine, autour de Cuba et du Venezuela, un processus révolutionnaire s’oriente vers le socialisme !
 
Au moment où la re-mondialisation du capitalisme n’apporte que misère, guerres, fascisme, intégrisme, menaces écolo-giques, les communistes doivent substituer l’analyse marxiste de leur histoire à la « repentance » pratiquée par la direction du PCF. Oui,Octobre 17 fut le plus grand événement libérateur depuis 1789 !Oui les héros de Stalingrad méritent notre gratitude pour avoir écrasé le nazisme au prix de sacrifices inouïs. Oui le PCF fut l’âme de la Résistance française ! Oui les ministres communistes de 45 sont à l’origine des acquis que la droite démolit aujourd’hui : Sécu, retraites, conventions collectives, statuts, droit du travail, nationalisations…Non, la liquidation des Etats socialistes ne fut pas une « avancée de la liberté », quels qu’aient pu être les manquements des partis au pouvoir : ce fut un processus contre-révolutionnairequi a rendu les peuples de l’Est à des régimes cléricaux ou carrément nostalgiques de Hitler (pays baltes) !
 
Cela ne signifie pas qu’il faudrait idéaliser la première expérience historique de construction d’une société socialiste. Mais il faut analyser cette expérience, ses contradictions, ses déviations, mais aussi ses avancées sociales, culturelles et démo-cratiques, à la lumière du marxisme, du combat de classe, du socialisme sans chausser les lunettes de la pensée unique anti-communiste ! Il est odieux d’amalgamer les Soviets ouvriers et paysans au Troisième Reich, comme le fait l’histoire officielle ! C’est sans dogmatisme mais avec fierté que nous assumons l’héritage des Communards, des Bolcheviks, des Révolutions chinoise et cubaine, des Brigades internationales, des FTP, comme nous assumons l’héritage des grands révolutionnaires bourgeois, Marat, Robespierre, Saint-Just, Garibaldi, Bolivar, Zapata et autres José Marti !
 
Car l’avenir de l’humanité sera communiste ou ne sera pas : la mondialisation capitaliste creuse l’inégalité nord-sud et dévoie le progrès scientifique ; en Occident, une poignée de privilégiés étale un luxe indécent mais des millions de travailleurs pauvres couchent dehors ! A l’heure où la production, de plus en plus internationalisée, conditionne la vie de l’humanité, il est suicidaire que les grands moyens de production et d’échange soient accaparés par une poignée de financiers.Ce n’est plus seulement pour vivre mieux que la majorité des humains a intérêt à une société sans classes et sans exploitation : face au capitalisme et au néolibéralisme, la marche au communisme est la seule issue pour que l’humanité se développe au 21ème siècle en maîtrisant son rapport à la nature pour permettre à chacun de se développer pleinement !
 
Mais cela est impossible sans révolution socialiste, sans socialisation des grands moyens de production, sans pouvoir politique des travailleurs, sans démocratie pour le plus grand nombre, sans rôle dirigeant des travailleurs dans la société ! 
 
 
2- pour combattre la fascisation,
pour la rupture progressiste avec l’Union Européenne !
 
La mutation a dénaturé le PCF en le subordonnant au PS, en l’arrimant à l’UE (le Parti s’est affilié à la Gauche européenne et prône la « réorientation » de l’Europe capitaliste!) et en l’amenant à abandonner la référence au marxisme et à la classe ouvrière. Le résultat c’est que nombre d’ouvriers ne votent plus, ou pire, soutiennent leurs pires ennemis, Sarko et Le Pen !
 
En réalité, la « construction européenne » est la stratégie fondamentale du grand capital ; celui-ci veut un Etat supra-national pour asservir les travailleurs, dominer l’Est et le Sud, mener sa guerre économique contre les autres impérialismes continentaux (même si l’Europe est aujourd’hui vassale des USA…).
 
Une stratégie révolutionnaire doit donc former autour des travailleurs salariés un rassemblement populaire majoritaire, comme celui qui a battu la constitution européenne. Il faut sortir la France de l’euro et de l’UE car aucune politique sociale n’est possible à moins. D’ailleurs, la masse de ceux qui votèrent non en 2005 n’a pas seulement rejeté la constitution, mais l’intégration européenne dans sa double dimension de casse de la nation républicaine et des acquis sociaux !
 
Ce rassemblement nécessite l’unité d’action des travailleurs salariés, actifs, retraités, sans emploi ou en formation ; pour cela il fautconstruire le tous ensembledans l’action, défendre le syndicalisme de classe, impulser la solidarité entre ouvriers français et immigrés. Il faut aussi d’unir autour des salariés les couches moyennes précarisées par la mondialisation capitaliste et par l’UE : cadres, paysans, artisans, petits entrepreneurs écrasés par les « donneurs d’ordre »...
 
Mais cela implique d’associer de nouveau, comme le fit le PCF en 1936 et pendant la Résistance, le drapeau tricolore au drapeau rouge. Ainsi, la question de la révolution sociale, de la rupture avec le capitalisme, pourra-t-elle reprendre concrètement sens, comme ce fut le cas partout où les communistes ont uni combat social et émancipation nationale. Face au drapeau bleu de l’Europe et de l’UMP, face au racisme du FN et de Sarkozy, il faut unir la Marseillaise et l’Internationalepour briser le carcan européen, élargir les acquis de 36, 45 et 68, impulser l’Europe des lutteset mettre des millions de citoyens en situation d’affronter le grand capital. C’est pourquoi je soutiens le programme de lutte adopté par la Gauche Communiste et par le PRCF qui prône la rupture avec l’UE et une démocratie radicalement nouvelle.
 
Loin de conduire au repli, sortir de l’UE permettrait à une République sociale française de promouvoir de nouveaux traités internationaux progressistes non limités à l’Europe. Ainsi, en Amérique latine, c’est en rompant les traités imposés par Washing-ton, que Cuba et le Venezuela ont créé l’Alternative bolivarienne des Amériques, fondée, non sur la concurrence libre et non faussée mais sur l’échange équitable entre nations libres. Pour la France, cela suppose de combattre l’impérialisme français, notamment en Afrique, et de soutenir les travailleurs immigrés contre le racisme d’Etat !
 
Quelle force nous retrouverons rapidement si nous diffusions ensemble massivement des tracts exposant un tel programme, au moment où la social-démocratie et ses satellites « antilibéraux » étalent leur impuissance !
 
3- pour reconstruire un vrai Parti communiste,
commençons par l’action commune !
 
 Pour cela, nous n’avons besoin ni d’un « parti des gens » à l’affût des modes, ni d’un parti-guide omniscient, mais d’un parti d’avant-garde marxiste capable de dialogue, mais porteur d’une ligne révolutionnaire. Ce parti ne renaîtra pas en niant les structures qui ont tenu bon face aux reniements. Pour unir les communistes, il faut développer le débat, l’analyse du monde actuel et surtout, l’intervention communiste dans les luttes.
 
C’est pourquoi je propose de créer une Confédération d’Action Communiste  pour :
organiser une large table ronde ; y décider d’une adresse à la Fête de l’Huma et aux travailleurs en lutte à la rentrée ; constituer un comité de liaison disposant d’un site internet et offrant des projets de TRACT d’actualité ; préparer ensemble le 90ème anniversaire d’Octobre ; militer contre toute constitution européenne, pour sortir la France de l’UE sur des bases progressistes ; pour refuser toute mesure de casse sociale et de fascisation ; soutenir pleinement Cuba socialiste menacée de nouvelles sanctions par l’U.E. et par l’impérialisme US ;  -tout cela étant non limitatif…
Quand l’action commune aura créé la confiance, il sera plus facile de renforcer les liens d’organisation.
 
Voilà cher(e) camarade, la démarche prudente et audacieuse que je te soumets. Tu pourras suivre sur www.prcf.fr le devenir de cet appel, notamment en ce qui concerne le lieu et la date du premier rendez-vous unitaire de juin ou juillet. Merci de répondre rapidement pour que je mesure si mon initiative vaut la peine de poursuivre…
 
Je t’adresse mes encouragements fraternels pour la période qui s’annonce: notre peuple finira par retrouver le bon cap si les communistes s’unissent sur quelques principes clairs pour mener ensemble le combat de classe !
 
Pour ma part, et jusqu’à la limite de mes forces, j’aurai fait tout ce qui dépend de moi pour perpétuer l’idéal qui a guidé toute mon action militante et parlementaire. Comme disait ironiquement Marx,« j’ai dit, et j’ai sauvé mon âme » !
 
Je soutiens cet appel et m’engage à le diffuser aux communistes de ma connaissance
Nom……………prénom…………responsabilités éventuelles……………………………………………………………………
adresse…………………………………………………………………………
adresse internet…………………………   téléphone ………………………
retour à G. Hage, 52 rue Deforest, 59500 Douai – george-hage@wanadoo.fr 
site du PRCF : www.prcf.fr
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20 mai 2007 7 20 /05 /mai /2007 11:10

Le samedi 15 septembre au Village du Livre à la fête de l'Huma, les camarades Léon Landini et Georges Gastaud représentant la CAC ont rencontrés André Gérin et Jean Miaille animateurs de la rencontre de Vénissieux où ils ont discuté fraternellement au sujet des derniers évènements sur la nécessité d'unir les communistes autour d'un vrai parti communiste sur un projet révolutionnaire novateur.

Ils ont convenu de reprendre contact pour se rencontrer la semaine prochaine.

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19 mai 2007 6 19 /05 /mai /2007 09:50
(d'après un appel de la Confédération d'Action Communiste
présidée par Georges Hage, a. député communiste du Nord)
 
 
La loi de service minimum » presenté par Sarkozy vise en réalité à liquider le droit de grève dans les transports (pour commencer : car si cette loi scélérate passe, tous les travailleurs et tous les étudiants subiront des contraintes analogues). En effet, la «  loi‑cadre » sur le «  service minimum » réduirait à rien le droit des salariés à faire grève, puisque :
 
1.    tout grévlste devrait avertir son employeur 48 h avant la grève : cela nie le droit individuel de chaque citoyen de décider jusqu'au dernier instant de son engagement dans un mouvement de grève ; et dans les entreprises ou la répression est forte, ce dispositif donnerait des moyens de pression accrus au patronat ;
2.    les non‑grevistes devraient remplacer les grévistes ; en annulant les effets perturbateurs de la grève, le pouvoir veut annuler la grève elle‑même ; le patronat aurait les moyens de briser la grève en transformant les non grevistes en «  jaunes » au mepris de la dignité de tous ; ce qui aurait de graves conséquences sur le climat interne des entreprises ;
3.    une grève de plus de 7 jours serait soumise  à contrôle judiciaire ; il s'agit de mettre le mouvement syndical sous tutelle d'Etat, de jeter la suspicion sur les syndicats, de donner de nouveaux pretextes à repression policiere ; or les salaries hesitants ont bien moins à craindre des collegues grevistes que des pressions patronales ! A l'inverse, le patronat n'aurait aucune obligation de négocier pendant le conflit
4.    aucune mesure légale ne sera prise pour réglementer le droix de grève illimité (de sabotage et prise d'otage NDLR) dont disposent les grands patrons et les actionnaires capitalistes ; ils pourront continuer à faire la grève de l’impot en quittant la France; les actionnaires pourront continuer à faire la grève de l’investissement en retirant brutalement leurs billes (comme Lagardere I'a recemment fait chez Airbus !) ou en delocalisant I'entreprise dès que les salariés osent revendiquer l'amélioration de leur sort !
5.    l'expression «  service minimum »  est mensongère car les cheminots, traminots, marins, etc., n'utilisent la grève qu'en dernier recours pour défendre, non seulement leurs interêts de salariés, mais aussi et surtout, la qualité du service public: le « service minimum », c'est celui qu'imposent quotidiennement aux usagers des transports les politiques patronales, gouvernementales et européennes qui privent les services publics (SNCF, RATP, bus...) des crédits nécessaires pour bien fonctionner !
6.    l’UMP et le MEDEF, qui disposent déjà de tous les leviers de commande, veulent briser le droit de grève parce qu'ils veulent détruire l’ultime moyen légal de défense dont peut disposer notre peuple durant les cinq prochaines années contre les graves mesures en préparation ; si le pouvoir parvenait à briser les secteurs qui ont le plus resisté ces dernieres années (cheminots, enseignants, etudiants...), il pourrait imposer sans resistance les graves mesures qu'il projette : franchise médicale, TVA antisociale, casse finale des retraites (régimes spéciaux ET général !), contrat de travail précaire unique, mise à mort des statuts et des conventions collectives, concurrence entre les universités et entre les lycées, casse de l’indemnisation du chomage, privatisations, arasement des libertés syndicales, travail du dimanche, etc.
 
N'oublions pas que le droit de grève à été l’une des principales revendications des luttes populaires en France, noyé dans le sang lors de la commune de Paris en 1871 (plus de 20 000 morts) ou réprimé comme pour la grève des cheminots en 1920 (environ 20 000 licenciés). Il n'a été réellement reconnu qu'en 1945, à une époque ou le grand patronat français était totalement discrédité après sa collaboration éhontée avec les nazis (cf « le choix de la défaite » de l'universitaire Annie Lacroix Riz, Paris, colin, 2006).
 
Pour défendre le droit de grève, dès la rentrée, préparons le
TOUS ENSEMBLE et en même temps, préparons la grève générale pour battre le gouvernement et ses réformes antisociales !
           
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18 mai 2007 5 18 /05 /mai /2007 19:34

Henri Alleg, Georges Hage, Leon Landini

Aux organisateurs de la rencontre de Vénissieux

Aux bons soins d’André Gerin

 

 

 

Chers camarades,

Dans la situation très périlleuse que vivent les communistes et les travailleurs de France, il est urgent de s'unir sur des positions de classe pour faire revivre un parti communiste digne de ce nom; pour commencer, ne faut-il pas relancer ensemble l'action communiste dans les masses? A cet égard, les signataires du texte "Groupons-nous dès demain" ont pris leur responsabilité en formant la CAC et G. Hage a pris les siennes en s'adressant aux participants à la rencontre de Vénissieux du 1er septembre.

La motion finale votée à Vénissieux comporte une avancée qui peut faciliter l'unité puisqu'elle n'enferme pas a priori la lutte à venir dans les limites du PCF et de son éventuel "redressement" (ce qui aurait pour effet d'exclure les camarades très nombreux qui sont hors du parti). La motion parle au contraire de la nécessité de s'unir et de s'organiser unitairement pour que les communistes "affirment leur détermination, chacun à leur place, à combattre (la direction du PCF) et à faire vivre, en toute circonstance, un parti communiste, ancré dans la lutte des classes et le combat révolutionnaire".

 

 

Cela pourrait permettre, à condition qu'un instrument de coordination ouvert et unitaire soit créé avec les communistes extérieurs au Parti et leurs représentants organisés, d'organiser l'action commune, de fédérer, de s'adresser en commun aux communistes membres du PCF, de préparer la continuité du vrai parti communiste sur la base de la phrase d'A.Tollet s'adressant aux dirigeants du PCF: "il y a eu et il y aura un PC en France, avec, sans ou contre vous". Certes la motion adoptée à Vénissieux n'est pas de notre point de vue complète: il faudrait selon nous se battre contre TOUTE constitution européenne, pour la rupture totale de la France avec l'UE de Maastricht, car la dérive liquidatrice qui arrive à son terme a coïncidé depuis toujours avec l'illusion eurocommuniste d'une réorientation de l'UE, cette structure intrinsèquement impérialiste, vers l'impossible "Europe sociale".

Mais ce point pourrait sans doute être éclairci par la discussion. Et pour le reste, la mise en place d'une structure de discussion et d'action nationale n'empêcherait nullement les divergences existantes de continuer de s'exprimer le cas échéant dans les lieux et espaces appropriés. Nous savons certes qu'il y a des dissentiments, des rancoeurs, mais il faut faire un bout de chemin DE CHAQUE COTE car si nous ne parvenons pas à créer rapidement une dynamique unitaire dans l'action, l'année 2007/2008 risque de porter un coup fatal à notre cause communiste, tout en rendant irréversibles les dégâts de la rupture sarkozyste.

 C'est pourquoi nous suggérons une rencontre rapide, dans un esprit mutuellement constructif et responsable, des organisateurs de la rencontre de Vénissieux et des animateurs de la CAC pour envisager ensemble les décisions nécessaires. Un premier contact pourrait avoir lieu sur la fête de l'Huma, que ce soit au stand du PRCF qui héberge la CAC, ou ailleurs.

Nous savons certes que le forum de Vénissieux n'a pas de structure organisée officielle, mais nous avons noté qu'un appel à s'organiser et à se coordonner avait été lancé. Il devrait donc être possible de discuter rapidement dans un esprit constructif de manière à "reconstruire l'espoir" d'une dynamique unitaire dans l'action.

Merci de répondre très rapidement!

Fraternelles salutations

Léon Landini, Henri Alleg, Georges Hage
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17 mai 2007 4 17 /05 /mai /2007 19:57
Le projet de loi sur l'autonomie des universités est examiné au Parlement ces jours-ci.
Un projet de loi que la Confédération d'Action Communiste (CAC) condamne sans 
ambiguïté, dans sa philosophie comme sur la forme.
 
Sur le fond, ce projet représente une vassalisation des universités aux 
desiderata du patronat et une privatisation de l'enseignement supérieur.
 
Tout d'abord, du fait d'un désengagement financier de l'Etat depuis de 
nombreuses années, les universités sont financièrement en grande difficulté. 
En proposant l'introduction de financement privés pour, dans les faits, compenser la 
pénurie budgétaire dont l'Etat lui-même est responsable, le Gouvernement livre pieds 
et poings liés les universités aux intérêts privés capitalistes.
 
Cette réforme va avoir pour conséquence une probable mise en concurrence entre 
universités à travers la course aux financements privés qui ne manquera pas d'avoir lieu. 
Et qui produira des déséquilibres graves entre universités, filières, et donc étudiants. 
Une remise en cause de la conception de service public (qui repose sur l'égalité de 
traitement entre usagers / étudiants)  dans l'enseignement supérieur.
 
La mise en oeuvre de cette réforme serait aussi confiée en pratique à des présidents 
d'universités hissés au rang de PDG d'entreprises, par transposition d'une conception 
managériale à l'anglo-saxonne pour le moins contestable.Avec, par exemple la possibilité 
laissée aux présidents d'universités de recruter des enseignants à statut contractuel, 
véritable "mercenariat" qui débouchera sur un recrutement à 2 vitesses avec des 
enseignants embauchés à des salaires différents et que ne pourront s'offrir que les 
universités les plus riches.
 
Sans compter les craintes qui continuent à planer sur d’autres questions qui ne 
manqueront pas d'être remises sur le tapis ultérieurement: hausse substantielle des frais 
d'inscription à l'université, sélection à l'entrée de l'université et à bac + 3, etc.
 
Enfin, sur la forme, que dire d'une réforme votée en catimini en juillet, en pleines vacances, 
au terme d'une pseudo-concertation menée à la hussarde?
 
Pour toutes ces raisons, la CAC s'oppose sans compromission à cette réforme et 
ne peut que que regretter les ambiguités de la gauche institutionnelle (PCF compris 
malheureusement), qui, tout en critiquant le projet en cours d'examen, accepte le 
principe de l'autonomie des universités. 
 
La CAC prendra toute sa place afin de contribuer à créer une mobilisation la plus 
massive et efficace possible afin de défendre une Université de service public, laïque 
et gratuite, de qualité et ouverte à tous. Elle soutiendra tous ceux (étudiants, enseignants, 
personnel IATOS, etc.) qui souhaitent construire un rapport de force effectif et massif
 face aux projets du Gouvernement sur l'enseignement supérieur
 (autonomie des universités, mais aussi refonte de l'aide sociale avec attribution de
 bourses au mérite) afin de le faire reculer. 
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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 19:32
Le peuple de France a besoin d’un parti communiste porteur d’un projet révolutionnaire !

Dans la diversité de leur situation locale, de leur histoire et de leurs analyses, 150 communistes, membres ou non du P.C.F, délégués de 26 départements ont fait le constat que l’existence d’un Parti communiste en France et la revitalisation d’un point de vue communiste sont plus que jamais nécessaires.

Le capitalisme mondialisé, dominant toutes les régions du monde et tous les domaines de la vie, fait la preuve de sa nocivité et de son incapacité à répondre aux besoins de l’Homme. Face à cela, il faut une organisation politique

- qui offre une autre perspective de développement,
- qui affirme que le capitalisme n’est pas la fin de l’Histoire,
- qui travaille à inventer le socialisme du 21ème siècle,
- qui réaffirme la nécessité du communisme,

Cela ne se fera pas sans permettre à la classe ouvrière de notre temps, au monde du travail dans sa diversité, au peuple, à la jeunesse d’intervenir dans le combat anticapitaliste.

Ils font le constat que la direction du PCF tourne le dos à cette exigence. Elle organise le recul des idées communistes. Elle fait le choix de prolonger la stratégie qui a conduit au désastre électoral des présidentielles, 1,9%. Refusant d’en tirer les leçons, elle poursuit le processus de liquidation et met à l’ordre du jour de deux prochains congrès, fin 2007 et fin 2008, la question de la disparition du PCF.

Ils dénoncent cette orientation et affirment leur détermination, chacun à leur place, à faire vivre, en toute circonstance, les idées communistes et un parti communiste ancré dans la lutte des classes et le combat révolutionnaire.

Pour eux, cet objectif commun est indissociable de leur engagement dans les entreprises et les quartiers, contre la politique au service du MEDEF, antisociale, antinationale, sécuritaire et guerrière, menée par Nicolas Sarkozy. Ils s’engagent

- A poursuivre le rassemblement du NON à la constitution européenne et à lutter contre la mondialisation, en particulier en mobilisant contre tout nouveau traité,
- A lutter pour la reconquête de la souveraineté populaire, la sortie de l’OTAN et la préservation des acquis du Conseil National de la Résistance,
- A être partie prenante de la lutte internationaliste avec les partis communistes et progressistes du monde.
- A lutter avec les peuples de la terre pour la paix, le désarmement et la solidarité internationale contre l’impérialisme au moment où Nicolas Sarkozy vient d’afficher son alignement sur Bush.

Les participants à cette rencontre affirment leur volonté de se rencontrer pour poursuivre le débat, de se coordonner de façon durable et régulière dans l’objectif de travailler au rassemblement de tous les communistes pour un autre projet de société.

Un premier rendez-vous est proposé à la fête de l’humanité sur plusieurs stands qui afficheront cet appel. Les signataires appellent les communistes qui le partagent à se retrouver fin Octobre dans une nouvelle rencontre nationale.

Vénissieux, le 1er septembre 2007

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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 19:31

Chers camarades,

 

Ayant appris incidemment votre initiative d’aujourd’hui, je me suis permis dans l’urgence de contacter mon camarade André Gerin pour lui proposer de vous adresser ce message. Je n’ai pas eu le temps de consulter mes amis du PRCF et de la toute nouvelle Confédération d’Action Communiste qui regroupe les quelques centaines de signataires du texte « Groupons-nous dès demain », dont j’ai pris l’initiative avec Georges Gastaud, Caroline Andréani et d’autres camarades. Je crois néanmoins être fidèle à l’esprit unitaire qui préside à la création de la CAC en engageant le dialogue avec vous dans cette situation politique si dangereuse pour l’avenir du communisme français, de la classe ouvrière et de la nation républicaine.

 

Je n’épiloguerai pas sur la signification profondément liquidatrice de la « mutation ». Le PCF actuel n’a plus de communiste que son nom, en vertu duquel continuent d’adhérer à ce parti décommunisé un certain nombre de militants sincères, dont je fais d’ailleurs encore partie.

 

Non seulement il s’agit d’une nouvelle trahison de classe, mais il s’agit d’une profonde absurdité politique. A l’heure où la droite dure triomphe en France et dans le monde, le moment est mal venu de faire des courbettes à l’idéologie dominante anticommuniste. Il faut au contraire prendre la tête sur des bases communistes d’une vraie résistance de classe en dénonçant Sarkozy pour ce qu’il est, le fascisant représentant du grand capital, le fourrier de l’impérialisme US, l’ami du MEDEF, le commis de l’Europe de Bruxelles en mal de revanche sur le NON du 29 mai 2005. Plus que jamais, face à la droite ultra, les travailleurs et les jeunes ont besoin d’un vrai Parti Communiste continuant clairement le combat des Communards et des Bolcheviks dans les formes de notre temps. Mais comment parvenir à ce but ? Pour ma part, j’y vois les conditions suivantes :

 

- il faut voir dans l’action les véritables communistes, en respectant les formes d’organisation qu’ils se sont trouvées, qu’ils soient ou non membres du PCF, qu’ils se soient ou non regroupés dans des structures telles que le PRCF, la Gauche Co, Rouge Vif, la Coordination du nord, etc. C’est d’abord sur le terrain de l’action de classe, désertée par la direction petite-bourgeoise du parti, que les travailleurs ont besoin des communistes. Pour ce faire, la Confédération d’Action Communiste s’est formée sur trois grands objectifs d’action qui sont admissibles a minima pour tout vrai communiste :

 

- 1- tout d’abord, il faut un vrai programme de lutte de classe, ce qui implique de refuser de négocier les régressions sarkozystes, de revendiquer la reconstitution et l’élargissement des grandes conquêtes sociales de 36, 45, et 68, de satisfaire aux dépens du grand capital les revendications de la classe ouvrière et des autres couches non monopolistes, de nationaliser les secteurs clés de l’économie. Mais tout cela est impossible sans exiger la rupture totale de la France avec l’Union Européenne de Maastricht pour reconquérir notre pleine souveraineté nationale, et bâtir de nouveaux traités internationaux progressistes s’inspirant du magnifique exemple donné sur ce terrain par Chavez et par Fidel. Il faut en particulier en finir avec le slogan mensonger de l’Europe sociale qui ne peut que mettre les communistes à la remorque de l’UE impérialiste et de la social-démocratie.

 

- 2- il faut aussi clairement combattre toute criminalisation du communisme en défendant clairement l’héritage de Marx et de Lénine contre la chasse aux sorcières géantes qui déferle sur l’Europe. Cessons de nous auto-flageller en mettant stupidement sur un même plan le IIIème Reich et le pays de Stalingrad.

 


3- Enfin, osons dire clairement que la classe des travailleurs salariés à droit à un vrai parti à elle, un parti marxiste, révolutionnaire, un parti de combat, un parti communiste, et non une auberge espagnole où règne la division, la lutte des places et la paralysie.

 


Sur ces bases, pourquoi ne pas lancer ensemble de grandes campagnes de lutte contre TOUTE constitution européenne, y compris le nouveau traité Merkel-Sarkozy, contre toute atteinte au droit de grève, contre les méfaits de l’euro, etc ? Même si nous ne sommes pas d’accord sur tout, pourquoi ne pas nous retrouver dans l’action en étant utile aux travailleurs ICI et MAINTENANT ?

 

Cela ne signifie pas qu’il faille se désintéresser du congrès du PCF. Comment y intervenir ensemble pour regrouper toute l’opposition de gauche sur des mots d’ordre clairs, permettant de tendre la main aux milliers de camarades qui ont été écartés du parti, tout en rompant clairement avec les dirigeants mutants et les refondateurs qui dominent l’appareil et la direction ?

 

- la première des choses est de ne pas se regrouper sur des mots d’ordre flous, en particulier sur l’Europe

 

                       - la seconde, c’est de ne pas exiger en préalable à l’action commune que les camarades qui ont quitté le PCF et qui ont créé autre chose pour faire vivre la lutte, réintègrent le PCF, ce qui est d’ailleurs physiquement impossible la plupart du temps. Ceux qui sont dehors ne doivent pas exiger que ceux qui sont dedans s’en aillent, mais ils doivent obtenir la même tolérance de ceux qui sont dedans.

 

- Quand la problématique du prochain congrès est officiellement de savoir si le PCF va ou non rester fidèle au « C » de son nom , il n’est pas réaliste de parler de reconquête. C’est l’expérience qui tranchera, prononçons-nous ensemble sur le thème « nous voulons un vrai PC de classe et de combat pour résister à l’UE et Sarkozy ». Et unissons-nous ENTRE COMMUNISTES par delà le clivage de la carte.

-Enfin, alertons solennellement les communistes et les travailleurs. Des liquidateurs anticommunistes ne peuvent plus rester éternellement membres du même parti, à côté de communistes fidèles au camp des salariés. Tôt ou tard, comme au congrès de Tours, les réformistes et les révolutionnaires doivent se séparer. La direction nous annonce deux congrès pour liquider ce qui reste du PCF. A l’issue de ces deux congrès, resterons-nous avec elle en traînant les pieds mais en suivant, deviendrions-nous l’aile gauche du Parti de la Gauche Franco-européenne ou serons-nous EN RUPTURE avec ceux qui veulent en finir avec le communisme, les continuateurs du vrai parti communiste, AVEC les camarades aujourd’hui extérieurs au PCF en titre ?

 

Dans tous les cas, la même conclusion s’impose : pour aujourd’hui et pour demain, GROUPONS – NOUS DANS L’ACTION, joignons les efforts de la CAC et les vôtres sans exclure quiconque.

 

Merci de votre patience envers le vétéran de la lutte anti-mutation que je suis !

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Théorie

le socialisme scientifique
(marxisme)
 
"Dans son effort constant d'analyse de la réalité sociale, dans son activité théorique comme dans son action, le parti communiste français s'appuie sur le socialisme scientifique, fondé par Marx et Engels, puis développé par Lénine et d'autres dirigeants et théoriciens du mouvement ouvrier. Cette théorie, matérialiste et dialectique, s'enrichit sans cesse à partir de l'avancement du savoir et de la pratique sociale, des expériences de l'action de classe des travailleurs en France et dans le monde, des enseignements positifs et négatifs de l'édification du socialisme. C'est comme formation intimement liée à la classe ouvrière et responsable devant le peuple et la nation française que le PCF détermine librement sa politique."

Radio Révolution

L'Internationale
La Marseillaise
Hardi camarades
El pueblo unido
La jeune garde
Hasta siempre
C'est dans la rue
La bataille va de l'avant
Hymne КПРФ

Infos

à vos agendas !

 

90e anniversaire du Parti Communiste Portugais - 6 mars 1921/2011

 

50e anniversaire du vol spatial de Youri Gagarine - 12 avril 1961/2011


100e anniversaire du journal "Pravda" - 5 mai 1912/2012

 

null Bibliothèque marxiste 

 

REFERENDUM D'INITIATIVE POPULAIRE : DONNONS LA PAROLE AU PEUPLE !

null

 EXIGEONS UN REFERENDUM NATIONAL SUR LE TRAITE DE LISBONNE !

 

 NON A LA PRIVATISATION DE LA POSTE - REFERENDUM NATIONAL SUR L'OUVERTURE DU CAPITAL DE L'ENTREPRISE PUBLIQUE EN SOCIETE ANONYME


Promesse non tenue, à qui le tour ? La Poste !

 

---------------------

 

LIENS DIVERS A VISITER

 

  Forum Unité communiste

 

 

Le Manifeste, journal communiste

 

letempsdescerises_2009.gif

Le Temps des Cerises, éditeur

 

Liberté 62, hebdomadaire communiste du Pas de Calais

 

LIENS DES PARTIS COMMUNISTES AU POUVOIR ou 1er PARTIS D'OPPOSITIONS

 

default.jpeg KPRF, Parti communiste de la Fédération de Russie

logo_top.png

Pravda, journal du KPRF

 ed.jpg

Education Politique, revue du Comité central du KPRF

 

  Parti communiste de la République de Moldavie

Comunistul, organe central du PCRM

 

null

  Parti communiste de Chine

null

Le Quotidien du Peuple (Renmin Ribao) organe central du PCC

Qiushi, revue théorique du Comité central du PCC : www.sinoperi.com/qiushi/

 

null Parti communiste de Cuba

null

Granma, organe central du PCCu

Cuba socialista, revue théorique du Comité central du PCCu : www.cubasocialista.cu

 

null

  Parti communiste du Vietnam

null

Nhan Dan, organe central du PCV

Tạp chí Cộng sản,  revue théorique du Comité central du PCV : www.tapchicongsan.org.vn/

 

cpnumllogo.gifParti communiste du Népal (marxiste-léniniste unifié)

New Era, organe central du PCN (UML)

 

null AKEL, Parti progressiste des travailleurs de Chypre

Haravgi, journal de l'AKEL